« A tes côtés », un album original interprété par la pianiste Ségolène BONNAVENTURE.

Cet album qui mêle différents univers musicaux, musique actuelle et classique, est le résultat d’une belle collaboration musicale qui a vu le jour en octobre 2020 entre la pianiste Ségolènne Bonnaventure, ancienne élèves de Saint Sigisbert et le compositeur Nicolas VICAIRE, tous deux originaires de Nancy.

La pianiste Ségolène est une ancienne élève de Saint Sigisbert, qu’elle a fréquenté entre 1990 et 1997, alors qu’elle étudiait en parallèle le piano au conservatoire de Nancy depuis l’âge de 7ans. Suite à son Baccalauréat scientifique, Ségolène va jusqu’à obtenir une maîtrise de Musicologie à la faculté de Nancy et intègre le conservatoire comme pianiste-accompagnatrice.

Ce projet musical trouve ses origines dans des morceaux composés par Nicolas depuis une quinzaine d’année pour son groupe de musique (le groupe Lorrain Aïeur). Désireux de décloisonner les genres, le compositeur a, depuis plusieurs années, commencé un travail d’adaptation de ses œuvres, notamment pour musique de chambre (quintette à cordes) et orchestre. C’est tout naturellement qu’il a poursuivi, dans cette logique, un projet d’adaptation pour piano.

Suite à la rencontre de Ségolène lors d’un concert au conservatoire de Nancy, la collaboration se met en place et se concrétise par la réalisation d’un album, intitulé « A tes côtés », en référence au premier titre de l’album et à une chanson du même nom. Cet album composé de onze titres a été enregistré au studio Baal productions à Metz.

Ces compositions ont maintenant besoin de trouver leur public et de relais (articles, radio, programmation de concert…) pour se faire connaitre plus amplement. Nous avons hâte que les activités culturelles redémarrent et puissent s’épanouir à nouveau.


Pour soutenir le projet « A tes côtés » et découvrir les clips vidéo rendez-vous sur la page Youtube et le site du compositeur.

www.nicolasvicaire.ovh

Pour obtenir l’album ou les partitions, organiser un concert avec Ségolène,  contactez directement le compositeur: nicolas.vicaire@gmail.com

Ancienne élève de Notre Dame-Saint Sigisbert, la députée Carole Grandjean va présenter une proposition de loi pour l’égalité femmes-hommes

Extrait de l’Est Républicain  12 mai 2021.

Carole Grandjean, Ancienne élève de Notre Dame Saint Sigisbert, députée de la 1ère circonscription de Meurthe-et-Moselle, présentera en première lecture à l’assemblée nationale un projet de loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle entre femmes et hommes. Une proposition en sept articles qui vise à lutter contre « les discriminations faites aux femmes, la première forme de discrimination en France ».

Carole Grandjean présentera la proposition de loi à l’assemblée nationale le 10 mai prochain. 

Dans quel cadre s’inscrit la proposition de loi que vous allez présenter aux députés à l’assemblée nationale ?

Nous avons eu le Grenelle sur les violences faites aux femmes avec des mesures qui ont été prises pour lutter contre ces formes de violences sexuelles, le harcèlement etc. Ce qui constituait un premier bloc.

Là, on arrive sur le sujet économique et professionnel. Nous voulons renforcer le ruissellement des différentes mesures. On est sur une démarche globale d’accélération d’égalité économique et professionnelle et évidemment, on vise plutôt les femmes car on constate que 27 % de différence de rémunération concerne les femmes dans le négatif, que 80 % des emplois à temps partiel concernent les femmes.

Un des nœuds c’est l’émancipation économique. Les deux premiers articles réaffirment et rendent obligatoire le fait que le versement des revenus ou des prestations sociales le soit sur le compte personnel ou joint des personnes concernées. Et ce n’est pas toujours le cas. On corrige quelque chose car depuis 1965, la loi autorise les femmes à avoir un compte mais c’est parfois contourné.

Réouverture des terrasses le 19 mai : « Nous sommes prêts ! »

Thierry Vincent, ancien élève de la Malgrange, gérant de la crêperie la Bolée et président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie 54 

Thierry Vincent est « prêt » à accueillir à nouveau des clients.

Êtes-vous satisfait du calendrier présenté par Emmanuel Macron dans la presse quotidienne régionale  ?

Dans les annonces on est satisfaits, on a obtenu un calendrier. Nous avons trois semaines pour organiser la réouverture. Maintenant, nous avons un doute au niveau des dates. De plus, on n’a pas de protocole, on attend des perspectives plus complètes. On a notamment des interrogations concernant les jauges et le maintien du soutien économique. Aussi, ce plan de réouverture n’évoque pas les hôtels-restaurants, les bars, les restaurants traiteurs et les organisateurs de réceptions. Depuis le début de la crise sanitaire, on est ensemble !

Si le contexte sanitaire le permet, les terrasses pourraient rouvrir à la mi-mai. Logistiquement, les restaurateurs sont-ils prêts ?

Nous sommes prêts ! Pendant ces sept derniers mois, on s’est améliorés. On a mis en place la vente à emporter. Et ce service va continuer à prendre de l’ampleur. Les personnes en télétravail ont pris l’habitude du click and collect. En juin, le couvre-feu à 23 h va permettre de faire deux services. Le seul bémol, en France, il manque 110. 000 employés de la restauration. Pendant la crise sanitaire, certaines ont retrouvé des métiers moins contraignants.

Ce plan de réouverture permettra-t-il aux restaurateurs de sauver leur année ?

Non, ça ne sauvera pas notre année. Les ventes en terrasses représentent 30 % de notre chiffre d’affaires. Mais ça va permettre de remettre les équipes au travail. Surtout, on va retrouver un contact avec nos clients. Ils en ont besoin. Certains ont déjà téléphoné pour réserver une table le jour de la réouverture. Nous sommes soutenus par notre clientèle.