Nancy : une lycéenne remporte le prix départemental Plaisir d’écrire pour sa nouvelle et vise le titre national

Pauline Vargenau, en classe de terminale au Lycée La Malgrange à Jarville, a décroché avec sa nouvelle « Les yeux dans les yeux » le premier prix départemental du concours « Plaisir d’écrire » de l’AMOPA. Elle est désormais en compétition pour remporter le prix national.

Pauline Vargenau lit sa nouvelle "Les yeux dans les yeux".
Pauline Vargenau lit sa nouvelle « Les yeux dans les yeux ».© Sandrine Vargeneau

Elève au lycée La Malgrange de Jarville près de Nancy, Pauline Vargenau, âgée de 17 ans, va tenter de remporter un prix national d’écriture.
En février 2021, sa nouvelle « Les yeux dans les yeux », lui a permis de décrocher le premier prix départemental du concours « Plaisir d’écrire » proposé par l’association des membres de l’ordre des Palmes Académiques (AMOPA). C’est cette distinction qui lui permet de concourir à l’échelon national.

Léa, 2e dauphine à l’élection nationale des Miss 15/17 ans

Représentant la Lorraine,  Léa Marchal, actuellement en Terminale S à La Malgrange, a fait honneur à la région en devenant 2e dauphine de Miss 15-17 ans National lors de l’élection qui s’est déroulée à Beauvoir en Vendée.

Après avoir eu l’immense satisfaction d’endosser l’écharpe de Miss 15/17 Meurthe-et-Moselle 2019 et Miss 15/17 Lorraine 2020 , Léa ne manquait pas d’ambition avant de participer à l’édition nationale.

17 au test de culture générale

« Pendant cette période de quatre mois, j’ai dû slalomer entre les cours – je suis en terminale générale scientifique à La Malgrange – et les différents shootings pour l’élection nationale. J’ai réalisé ma vidéo officielle de 3 minutes pour représenter ma région et j’ai eu la chance d’être reçue par de nombreux partenaires que je remercie chaleureusement pour leur accueil et leurs nombreux cadeaux », affirme Léa, très impatiente de partir rejoindre les autres Miss.

Le jour de l’élection, les candidates sont jugées tout d’abord sur leur beauté, leur présentation, mais aussi sur les notes du test de culture générale (17/20 pour Léa) ainsi que sur leur aisance à l’oral, motivation, élégance et le nombre de votes obtenus par SMS.

Vingt-quatre jeunes filles sélectionnées

Tout au long de la semaine de préparation, le comportement des Miss est jugé et analysé avant l’entretien de présélection permettant de dégager douze jeunes filles sur vingt-quatre pour continuer l’aventure, avant de sélectionner un top 6 le jour de l’élection.

Tout en restant la plus naturelle possible, Léa a su faire valoir son humour, sa sociabilité, son savoir-vivre, son optimisme et sa joie de vivre, autant d’atouts qui n’ont pas manqué de séduire le jury et qui ont débouché sur le titre de 2e dauphine.

En raison des conditions sanitaires, l’élection s’est déroulée à huis clos. Et Léa n’a pu bénéficier du soutien de ses proches et de ses amis.

Et maintenant ?

« Mon objectif est, bien évidemment, le Bac, mais le prochain arrivera très vite avec l’entrée en fac de médecine en septembre. Si j’ai la chance de réussir ma première année, j’aimerais peut-être, à l’avenir, tenter une nouvelle aventure dans le milieu des miss. Il ne faut jamais dire jamais, alors j’espère donner rendez-vous, dans quelques années, avec une nouvelle couronne », conclut Léa qui gardera un souvenir inoubliable de cette expérience et de cette folle aventure partagées avec 23 autres filles.

Clémence Tissoux l’immobilier pour passion

Clémence Tissoux, promo Malgrange 2005 déborde d’énergie. Cette jeune femme dynamique est l’heureuse maman d’une petite Jeanne, 7 ans et demi. Clémence est issue d’une famille originaire d’Heillecourt depuis plusieurs générations. Son grand-père André Tissoux était agriculteur sur la commune, au temps où ce n’était encore qu’un village où les espaces verts recouvraient la majorité de son territoire.

Clémence obtient un Master 2 en commerce en 2010 et acquiert rapidement une bonne expérience en conseil et en communication, un travail où elle excelle mais qui cependant ne la satisfait pas complètement.

Le contact avec les gens, l’écoute d’autrui et son désir de développer davantage d’empathie et de bienveillance dans les situations commerciales lui font chercher une autre voie. En 2019, elle la trouve en intégrant le réseau IAD où elle devient agent commercial mandataire en immobilier à son propre compte. Un métier qui rassemble ses deux passions : son sens du commerce et son besoin de contact réel avec le client. « Je ne peux m’empêcher d’accompagner mes clients jusqu’au bout de leur projet immobilier, confie Clémence. J’ai besoin de m’investir à 100 % pour eux, qu’ils soient vendeurs ou acquéreurs. C’est dans ma nature. »

Et cerise sur le gâteau, Clémence travaille principalement sur la commune qui l’a vue naître… Bref, que du bonheur !

Clémence Tissoux a décidé d’exercer son métier dans sa commune d’origine.

 

Un contrat pro à l’ASNL pour un ancien élève de la Malgrange

AS Nancy Lorraine : un contrat pro de trois ans pour Neil El Aynaoui

Licencié à l’ASNL depuis l’âge de 8 ans, le jeune milieu de terrain Neil El Aynaoui,  vient de concrétiser son rêve de gamin en signant son premier contrat professionnel avec son club formateur. Gros plan.

Neil El Aynaoui ancien élève de la Malgrange  : « Je n’ai jamais regardé ce qu’on aurait pu me proposer ailleurs. Je serais seulement parti de l’ASNL si le club avait voulu se débarrasser de moi. Je me sens redevable après tout ce que j’ai appris ici » 

C’est un joli contre-pied, à l’heure où de nombreux jeunes du centre de formation de l’ASNL préfèrent partir à l’étranger. Neil El Aynaoui, licencié à l’ASNL depuis la catégorie U9, vient de signer son premier contrat pro de trois saisons avec son club formateur.

La concrétisation d’un rêve de gamin pour le milieu de terrain, qui soufflera ses 20 bougies en juillet. Le fiston de l’ex-champion de tennis Younès El Aynaoui confirme : « J’ai commencé le foot en Espagne, dans le petit club de Gava, près de Barcelone. On habitait là-bas, à l’époque, parce que c’était plus facile pour mon papa dans sa carrière de tennisman, avec un grand aéroport à proximité. Mes parents sont revenus vivre à Nancy quand j’avais 8 ans. J’ai tout de suite signé à l’ASNL. C’est mon club. Depuis tout petit, j’ai cet objectif de devenir footballeur professionnel à Nancy. Je n’ai jamais regardé ce qu’on aurait pu me proposer ailleurs. Je serais seulement parti de l’ASNL si le club avait voulu se débarrasser de moi. Je me sens redevable après tout ce que j’ai appris ici »

Une famille ultra-sportive

Comme beaucoup d’autres pros avant lui, Neil El Aynaoui est aussi passé par le Pôle Espoirs au CREPS d’Essey-lès-Nancy , avec les équipes de Jean-Robert Faucher. Il a franchi les étapes avec beaucoup d’aisance balle au pied, avec également de grandes qualités physiques lui permettant de répéter les efforts à haute intensité. C’est dans les gènes tout ça, avec son père qui a brillé en Grand Chelem, avec également sa maman qui a connu le top niveau en tennis et en patinage artistique. Le grand frère de Neil a aussi brillé au basket dans les catégories jeunes, alors que le plus petit de la fratrie, Noam (17 ans), actuellement au Pôle France Aviron de Nancy, est promis à un très bel avenir dans sa discipline.

Le néo-pro de l’ASNL, lui, est un footballeur tellement complet que Patrick Gabriel , pendant sa formation, a décelé en lui les qualités pour jouer attaquant de pointe. Mais c’est bien dans l’entre-jeu, « en position de relayeur », qu’il se sent le mieux. Son profil sera certainement intéressant, en tout cas, pour le nouveau coach de l’ASNL, l’Allemand Daniel Stendel.


En attendant la reprise de l’entraînement d’ici deux semaines, Neil El Aynaoui a fait une demande pour son numéro en L2 : « J’aimerais bien porter le 12, c’est le jour de naissance de mon père et de ma mère » Voilà un jeune qui, décidément, n’oublie jamais d’où il vient.