Hugo BEUREY, ancien élève de La Malgrange, aux Jeux Olympiques !

Paris 2024 Aviron : Hugo Beurey gagne son ticket pour les Jeux olympiques !

Il y aura un Lorrain aux Jeux olympiques de Paris. Hugo Beurey (SN Nancy) et son coéquipier Ferdinand Ludwig ont décroché leur ticket pour Paris 2024, ce mardi à Lucerne.  L’Est Républicain – 20/05/2024  extrait
Hugo Beurey (SN Nancy) et son coéquipier Ferdinand Ludwig ont leur billet pour Paris.  Photo Mag Aviron
Hugo Beurey (SN Nancy) et son coéquipier Ferdinand Ludwig ont leur billet pour Paris. 
Régate de qualification olympique à Lucerne

La régate finale de qualification olympique s’est achevée ce mardi en Suisse. L’équipe de France d’aviron est parvenue à ajouter deux nouveaux bateaux à la flotte qui s’était déjà qualifiée lors des mondiaux de Belgrade, en septembre 2023 : le deux de couple féminin poids léger des vice-championnes olympiques de Tokyo Laura Tarantola et Claire Bové, mais aussi le même bateau côté masculin, avec à son bord le Nancéien Hugo Beurey.

« On a encore pas mal de choses à gagner »

Dans la course, les deux rameurs tricolores avaient face à eux les Grecs qui allaient s’avérer féroces, comme ils l’avaient déjà été lors de la série de dimanche. Mais c‘était sans compter sur la détermination des Français, qui ont su conserver le leadership et remporter la finale de 19 centièmes sur les Hellènes, s’emparant ainsi du ticket pour Paris. « On sait qu’on a été performant la saison passée », note Hugo Beurey. « On sait aussi qu’on n’a pas été performants en fin de saison. Mais depuis janvier 2024, on a fait une bonne préparation et on est content du niveau qu’on a pu atteindre. Ça s’est déroulé comme on a prévu : on a notre point fort avec le départ, on gère notre course au milieu et on accélère à la fin. On a encore pas mal de choses à gagner, mais on a joué sur nos qualités. »

Les autres Lorrains engagés dans les courses ce mardi ont été moins chanceux. Emma Cornelis (SN Nancy) a terminé à la quatrième place de la finale du deux sans barreur féminin. Quatrième place également pour Valentin et Théophile Onfroy (CN Verdun) en quatre de couple masculin ; une belle performance pour un bateau constitué il y a deux semaines à peine.

Les CM2 de l’école Notre Dame Saint Sigisbert remportent un concours de rap

L’Est Républicain – extrait
Une première place bien méritée.
Une première place bien méritée.

Après avoir présenté un spectacle en langue française et allemande pour illustrer l’amitié entre les deux pays, la classe de CM2-2 de Madame Tossa de l’école Notre-Dame Saint-Sigisbert a décidé de participer au concours de l’école du flow, organisé par le groupe allemand « Zweierpasch », à Karlsruhe. Thème imposé : « Arc-en ciel, diversité et tolérance ».

Afin de mettre toutes les chances de leur côté, les scolaires ont sollicité la participation de Lisko, un rappeur nancéien, pour les aider dans l’écriture et la diction d’un rap. Les élèves ont travaillé par groupes, découvert la ville de Karlsruhe, trouvé des différences et points communs avec Nancy, tant sur le plan du patrimoine que sur le plan culturel.

Rachel Limon, intervenante en langue allemande, et Verena Langer, volontaire au Goethe-Institut ont ensuite réalisé la traduction allemande, tandis que d’autres enseignants se mobilisaient pour réaliser une vidéo.

Partenaire de l’opération, le Goethe-Institut a autorisé le tournage d’une partie du clip dans ses propres locaux. Au final, le rap des élèves de Notre-Dame Saint-Sigisbert « je rêve Arc- en -ciel » a retenu l’attention du jury, puisque les jeunes rapeurs ont eu la chance de faire partie des six finalistes sur 60 classes inscrites.

Le 16 mai dernier, grâce au soutien du rectorat, de la ville de Nancy et de la ville de Karlsruhe, la jeune délégation nancéienne (les CM2-2, leur Fan Club et les accompagnateurs) a pu monter sur scène afin de défendre les couleurs de la cité Ducale. Leur incroyable performance leur a permis de se hisser à la première place du concours.

Les anciens de la Malgrange / Saint-Sigisbert font leur rentrée

Monseigneur Pierre-Yves Michel a assisté à la réunion de rentrée de l’amicale.

Les membres du comité ont répondu à l’invitation de Didier MION, président de l’association des anciens élèves.

Outre le bilan de l’année scolaire passée, il s’agissait d’évoquer les nombreux projets à venir. Le rendez-vous revêtait néanmoins un caractère tout particulier avec la nomination, en tant que membre de droit, de David JOBERT, qui remplace Xavier SCHMIDT à la tête de l’établissement de la Malgrange. « J’ai trouvé ici une communauté très engagée, j’ai reçu un très bon accueil et me trouve plutôt épanoui dans mon début de mission », souligne l’intéressé.

L’autre événement très attendu était la visite de Mgr  Pierre-Yves MICHEL, nouvel évêque de Nancy-Toul, malgré « un emploi du temps chargé ». L’invité d’honneur a d’ailleurs montré un intérêt certain pour le fonctionnement de l’amicale : « J’essaye de découvrir le paysage et les réalités du diocèse. Commencer par une amicale d’anciens élèves est une autre fenêtre. » L’évêque s’est également intéressé aux expériences vécues par chacun, en tant qu’élèves. « La Malgrange et Saint-Sigisbert sont comme une famille. En tant qu’élèves, nous avons eu un sentiment d’appartenance. Un sentiment qui est toujours d’actualité. »

À noter également la présence de Laurent DUCROS, nouveau directeur de l’enseignement catholique 54 et 55.

Soixante-quinze ans après, il revient à La Malgrange !

Il était là en 1948, le voilà de retour en 2023. Profitant des ponts du mois de mai, Maurice Jacquemot était de retour à l’Institution de la Malgrange, où il a fait sa scolarité il y a 75 ans maintenant. L’occasion de revivre des souvenirs l’ayant profondément marqué.
Passage obligé par la grotte durant la déambulation dans le parc.

C’est à l’Institution de la Malgrange que Maurice Jacquemot a fait toute sa scolarité et qu’il y a obtenu un premier baccalauréat, en 1948. « Le second, il l’a décroché l’année suivante à Saint-Sigisbert », précise Didier Mion, président de l’amicale des anciens élèves.

Profitant des grands week-ends de mai, Maurice Jacquemot est revenu en Lorraine et sur les lieux de son enfance, entouré de sa famille venue de Paris, de Suisse et du sud de la France, où il réside actuellement.

Dortoirs collectifs et douches froides

Accueilli par Didier Mion, Anne Lalot, responsable de la catéchèse, le Père Benoit Gérardin, Alexandra Iemfré et Julien Mion, membres du comité de l’amicale, Maurice a pris grand plaisir à redécouvrir les lieux, impressionné par les nouveaux bâtiments et les aménagements modernes du site et ne manquant pas de raconter quelques anecdotes.

Cette mémorable journée s’est terminée par un passage par le bureau des anciens élèves. « Maurice, notre vétéran, est adhérent depuis des dizaines d’années », souligne Didier Mion. Ce vétéran, donc, qui a pu remonter le long couloir qui menait à l’époque au bureau du Père Supérieur « et qui était recouvert d’un long tapis rouge ». Une visite mémorielle conclue par une déambulation dans le parc, avec un arrêt à la grotte « qui n’a pas changé d’un iota » précise Maurice Jacquemot.

Les responsables de l’amicale lui ont ensuite remis quelques souvenirs : un t-shirt floqué à l’emblème de l’école, l’insigne de 1948 ainsi que des copies des Palmarès de distribution des prix, retrouvés grâce à Paul-Henri Claudel, actuellement professeur à l’école.

Anciens élèves et Fourasses, un partenariat contre le cancer.

Une association pour lutter contre le cancer.

Lors de sa dernière séance, le comité de l’association des anciens élèves de la Malgrange/Saint-Sigisbert a reçu l’association laxovienne Les Fourasses. L’objectif, pour Didier Mion, président des anciens élèves de la Malgrange/Saint-Sigisbert : « Il s’agissait de finaliser un partenariat à l’occasion d’Octobre rose. »

En effet, chaque année, l’association de Laxou organise à la Sapinière des randonnées de plusieurs distances au profit de la recherche contre le cancer : « L’idée d’un rapprochement entre nos deux associations a donc germé, je suis la nièce de Didier Mion et les petits-enfants de notre trésorière sont scolarisés à la Malgrange » précise Virginie Grisez, vice-présidente des Fourasses. « Un partenariat d’entraide réciproque et quasi familial a été mis en place. »