Engagé au quotidien dans la commune où il a grandi

Président de notre association depuis 2018

Il a toujours habité dans la même rue où ses parents se sont installés pour ouvrir la Maison de la presse. Sa retraite est à l’image de sa vie active.
Engagé sur le plan communal et associatif.

Enfant de Laneuveville depuis sa naissance en 1959, Didier Mion a toujours vécu dans la commune où ses parents se sont installés en 1951 pour ouvrir la Maison de la presse.

« J’ai toujours habité dans la même rue, où j’ai rencontré Denise, mon épouse, originaire de Jeandelaincourt mais qui travaillait à l’épicerie, située en face de la mairie. Six mois plus tard, nous étions mariés », indique Didier, père de deux enfants, et papy de trois petits-enfants.

Scolarisé à l’école du Centre, il poursuit ses études au collège La Malgrange, lycées Cyfflé et Sainte- Élisabeth avant de démarrer sa carrière professionnelle en qualité de facteur après un remplacement durant l’été.

Pendant treize ans, Didier travaille aux PTT tout en aidant ses parents à la Maison de la presse. En 1989, il quitte la corporation – après avoir été reçu au concours de contrôleur – pour reprendre le commerce familial avec son épouse.

Actif dans la première association des commerçants, présidée alors par Michel Vannier, bénévole au club de foot local où joue son fils Julien, Didier multiplie les actions en faveur des habitants (transport, démarches administratives…).

Un retraité très actif

Malgré la mise en retrait de sa vie professionnelle, depuis deux ans, il occupe désormais son temps libre entre le jardinage, le bénévolat (aide et visite aux personnes âgées, amicale des anciens de La Malgrange), des activités partagées, pour la plupart, avec son épouse, sans oublier les moments plus intimes passés avec leurs proches.

Pour autant, les journées sont un peu courtes… Il lui sera d’ailleurs difficile de prendre sa carte de pêche cette année. Membre de la société d’Histoire et de l’Amicale des anciens de Laneuveville, Didier a pris la présidence de l’Amicale des donneurs de sang en 2021. Il espérait également s’investir et apporter ses connaissances à la vie municipale et, plus particulièrement, au CCAS en s’engageant lors des dernières élections municipales. Si les électeurs en ont décidé autrement, il ne baisse pas les bras et postulera à nouveau. Didier Mion avoue que les liens particuliers de sa famille noués avec le collège La Malgrange à Jarville sont une de ses plus grandes fiertés. « J’y ai fait mes études, mes enfants aussi, sans compter que j’ai été marié par un prêtre de La Malgrange. »