Clémence Tissoux l’immobilier pour passion

Clémence Tissoux, promo Malgrange 2005 déborde d’énergie. Cette jeune femme dynamique est l’heureuse maman d’une petite Jeanne, 7 ans et demi. Clémence est issue d’une famille originaire d’Heillecourt depuis plusieurs générations. Son grand-père André Tissoux était agriculteur sur la commune, au temps où ce n’était encore qu’un village où les espaces verts recouvraient la majorité de son territoire.

Clémence obtient un Master 2 en commerce en 2010 et acquiert rapidement une bonne expérience en conseil et en communication, un travail où elle excelle mais qui cependant ne la satisfait pas complètement.

Le contact avec les gens, l’écoute d’autrui et son désir de développer davantage d’empathie et de bienveillance dans les situations commerciales lui font chercher une autre voie. En 2019, elle la trouve en intégrant le réseau IAD où elle devient agent commercial mandataire en immobilier à son propre compte. Un métier qui rassemble ses deux passions : son sens du commerce et son besoin de contact réel avec le client. « Je ne peux m’empêcher d’accompagner mes clients jusqu’au bout de leur projet immobilier, confie Clémence. J’ai besoin de m’investir à 100 % pour eux, qu’ils soient vendeurs ou acquéreurs. C’est dans ma nature. »

Et cerise sur le gâteau, Clémence travaille principalement sur la commune qui l’a vue naître… Bref, que du bonheur !

Clémence Tissoux a décidé d’exercer son métier dans sa commune d’origine.

 

Ancienne élève de Notre Dame-Saint Sigisbert, la députée Carole Grandjean va présenter une proposition de loi pour l’égalité femmes-hommes

Extrait de l’Est Républicain  12 mai 2021.

Carole Grandjean, Ancienne élève de Notre Dame Saint Sigisbert, députée de la 1ère circonscription de Meurthe-et-Moselle, présentera en première lecture à l’assemblée nationale un projet de loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle entre femmes et hommes. Une proposition en sept articles qui vise à lutter contre « les discriminations faites aux femmes, la première forme de discrimination en France ».

Carole Grandjean présentera la proposition de loi à l’assemblée nationale le 10 mai prochain. 

Dans quel cadre s’inscrit la proposition de loi que vous allez présenter aux députés à l’assemblée nationale ?

Nous avons eu le Grenelle sur les violences faites aux femmes avec des mesures qui ont été prises pour lutter contre ces formes de violences sexuelles, le harcèlement etc. Ce qui constituait un premier bloc.

Là, on arrive sur le sujet économique et professionnel. Nous voulons renforcer le ruissellement des différentes mesures. On est sur une démarche globale d’accélération d’égalité économique et professionnelle et évidemment, on vise plutôt les femmes car on constate que 27 % de différence de rémunération concerne les femmes dans le négatif, que 80 % des emplois à temps partiel concernent les femmes.

Un des nœuds c’est l’émancipation économique. Les deux premiers articles réaffirment et rendent obligatoire le fait que le versement des revenus ou des prestations sociales le soit sur le compte personnel ou joint des personnes concernées. Et ce n’est pas toujours le cas. On corrige quelque chose car depuis 1965, la loi autorise les femmes à avoir un compte mais c’est parfois contourné.

Réouverture des terrasses le 19 mai : « Nous sommes prêts ! »

Thierry Vincent, ancien élève de la Malgrange, gérant de la crêperie la Bolée et président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie 54 

Thierry Vincent est « prêt » à accueillir à nouveau des clients.

Êtes-vous satisfait du calendrier présenté par Emmanuel Macron dans la presse quotidienne régionale  ?

Dans les annonces on est satisfaits, on a obtenu un calendrier. Nous avons trois semaines pour organiser la réouverture. Maintenant, nous avons un doute au niveau des dates. De plus, on n’a pas de protocole, on attend des perspectives plus complètes. On a notamment des interrogations concernant les jauges et le maintien du soutien économique. Aussi, ce plan de réouverture n’évoque pas les hôtels-restaurants, les bars, les restaurants traiteurs et les organisateurs de réceptions. Depuis le début de la crise sanitaire, on est ensemble !

Si le contexte sanitaire le permet, les terrasses pourraient rouvrir à la mi-mai. Logistiquement, les restaurateurs sont-ils prêts ?

Nous sommes prêts ! Pendant ces sept derniers mois, on s’est améliorés. On a mis en place la vente à emporter. Et ce service va continuer à prendre de l’ampleur. Les personnes en télétravail ont pris l’habitude du click and collect. En juin, le couvre-feu à 23 h va permettre de faire deux services. Le seul bémol, en France, il manque 110. 000 employés de la restauration. Pendant la crise sanitaire, certaines ont retrouvé des métiers moins contraignants.

Ce plan de réouverture permettra-t-il aux restaurateurs de sauver leur année ?

Non, ça ne sauvera pas notre année. Les ventes en terrasses représentent 30 % de notre chiffre d’affaires. Mais ça va permettre de remettre les équipes au travail. Surtout, on va retrouver un contact avec nos clients. Ils en ont besoin. Certains ont déjà téléphoné pour réserver une table le jour de la réouverture. Nous sommes soutenus par notre clientèle.

Les CM2 de N.-D.-de-Bonsecours / La Malgrange reçoivent un maire

Hervé Féron a tenu à rencontrer en personne la classe de CM2 de Mme Corinne  Meyer.

Parmi les compétences fixées par le programme d’enseignement du langage oral des élèves du cycle 3, figure, entre autres, la capacité de rendre compte d’un travail collectif en s’exprimant avec précision pour relater des expériences, des recherches ou des faits observés.

L’un des thèmes choisis par Corinne Meyer, la directrice et enseignante de CM2 de l’école Notre-Dame-de-Bonsecours / La Malgrange , pour mettre en œuvre ces compétences, la présentation de sa commune avec des élèves venant de toute la Métropole du Grand Nancy et même d’ailleurs. Le travail collectif était organisé en petits groupes de 2 à 4. Au-delà de la recherche classique sur internet.

Le plaisir de répondre aux questions

Tiago et Eléna ont décidé de rencontrer le maire de leur commune. Hervé Féron, maire de Tomblaine, se souvient de la manière dont ils sont venus le solliciter. « Une manière touchante ! Ils avaient soigneusement préparé et rédigé leurs questions sur papier. Et tel un vieux couple, ils se gourmandaient mutuellement quand ils se trompaient dans l’ordre de ces questions. Ils affichaient un tel sérieux que je n’ai pu résister au désir de leur proposer de leur répondre au sein même de leur classe. »

C’est ainsi que le maire de Tomblaine s’est rendu vendredi matin dans leur classe . Hervé Féron, ancien éducateur spécialisé, a eu le grand plaisir de répondre aux questions des écoliers : il venait de fêter, la veille, ses 20 années au service de sa commune. Il a expliqué à quoi sert un maire et précisé « les difficultés de gérer la misère d’autrui au quotidien, comment il convient de prendre en compte la douleur physique et psychique de ses administrés pendant cette période de crise sanitaire ».

Des élèves intéressés et intéressants

M. Féron a enfin salué tout l’intérêt que montraient les élèves pour leur intérêt et leur respect de nos institutions. Bref une leçon de langage oral doublée d’une information sur le rôle des élus municipaux dans une commune savamment orchestrée et menée de main de maître par des élèves intéressés et intéressants.

Ghislaine et Claude Werlé fêtent leurs noces d’or

Ghislaine a « le cœur sur la main et a toujours aimé rendre service », dit d’elle son époux, Claude Werlé.
Plusieurs générations  d’éléves de La Malgrange ont connu Ghislaine à la cantine, ou elle s’occupait du service.
Le mariage de Ghislaine et Claude Werlé a été célébré le 6 mars 1971.

 « Nous sommes sur terre pour faire du bien », renchérit l’intéressée. C’est donc tout naturellement qu’à l’heure de la retraite, cette ancienne salariée de la coopération pharmaceutique française puis du collège de la Malgrange, s’est lancée dans le bénévolat.

Après son service militaire volontaire à Dakar, Claude Werlé a lui fait son entrée chez Kuhn et Fleichel. À la fermeture de l’établissement, il a rejoint les Métalliers Lorrains. « J’ai travaillé là avec le meilleur Ouvrier de France », indique-t-il. Il a terminé sa carrière chez Brayer, à Heillecourt, en 2008.

Bon bricoleur, Claude profite de la retraite pour faire des travaux dans la maison héritée de ses parents. Quand on lui demande la recette pour faire durer son mariage, célébré le 6 mars 1971, le couple sans enfant répond sans hésiter : « Nous sommes complé-mentaires ».