Bourses étudiantes 2020/2021 > lancement de la campagne !

Notre association lance sa campagne d’inscription pour les Bourses 2020/2021 !

En remerciement des bienfaits reçus durant leur scolarité et de leur attachement à La Magrange et à Sigis, l’Association Amicale des Anciens Élèves de La Malgrange / Saint Sigisbert née en 1872 a traditionnellement et à hauteur de ses ressources soutenue financièrement nos 2 établissements. Elle souhaite aujourd’hui porter son action de mécénat vers la nouvelle génération qui aura à charge de poursuivre ce témoignage.
Les élèves de terminale peuvent se procurer le dossier d’inscription auprès de leur secrétariat respectif ou nous contacter sur notre site.
Date limite pour le dépôt des dossiers : 11 juin 2021

DEVOIR DE MÉMOIRE

Rénovée en 2002 la sépulture des anciens Directeurs de La Malgrange, située au cimetière de Préville à Nancy a toujours été le symbole d’un devoir de Mémoire pour les responsables de l’École et de l’Association des anciens élèves.

Y reposent, les Chanoines Mirguet, Guise, et Delarue.🙏
Cette année 2021 est une année d’échéance pour le renouvellement de la concession.
L’OGEC et l’association des anciens élèves se sont associés pour renouveler la concession pour 50 ans.
A noter donc pour les futurs responsables vers 2070👍

Trouvaille Photographique

Une trouvaille de Bernard Griffaton
Membre du comité de l’association des anciens élèves

 » En fouillant la montagne de photos je suis tombé sur une photo de 60,61 ou 62 avec l’abbé Hochard : sur la rangée du haut 5eme à partir de la gauche, mon beau-frère Michel Potier-Ferry une « grosse tête » bac en 67 puis polytechnicien qui a fini sa carrière il y a peu comme professeur, directeur de thèse à la fac de sciences de Metz « 

Avis de recherche historique : Jean-Pierre WEISSE

Reçu de Geneviève WEISSE, la sœur de Jean Pierre.
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Bonsoir,
Suite à notre entretien téléphonique, je vous joins les photos de mon frère Jean-Pierre WEISSE, né le 30 avril 1934 à DAKAR (Sénégal).
Pensionnaire à la Malgrange de janvier 1946 à probablement décembre 1948, sûrement jusqu’en juillet 1947.
Je serai heureuse d’avoir des précisions sur son séjour.
Les soeurs de Jean-Pierre étaient en pension à la même époque chez Mesdames BOYER à Nancy. Je viens de voir sur internet que le pensionnat ou institution des « Demoiselles » BOYER s’était transformé en « Mesdames ».
A bientôt.
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Si par hasard quelqu’un avait été scolarisé à La Malgrange à cette époque, ou mieux, dans la même classe, ou apporter des renseignements complémentaires…
Merci de nous joindre directement sur la page contact.

Ancien élève de La Malgrange, médecin et Maire de Heillecourt (54), Didier Sartyelet montre l’exemple

Didier Sartelet, 66 ans, maire de Heillecourt, ancien élève de La Malgrange promo 1974 a reçu ce mardi sa première injection. Parce qu’il est aussi médecin généraliste : « Il faut passer à l’offensive avec la vaccination », martèle l’élu.

Le maire de Heillecourt, Didier Sartelet, ancien Malgrangien  se fait vacciner à Nancy

Il ne s’en cache pas. Au regard de la crise, il plaidait non pas pour un couvre-feu avancé à 18 h mais pour un reconfinement total couplé à une campagne de vaccination intensive. Didier Sartelet, le premier magistrat de Heillecourt, était en tout cas au rang des signataires de la lettre ouverte des maires du Grand Nancy appelant il y a quelques jours à l’accélération de la campagne de vaccination. Ce mardi, il est aussi devenu un des premiers maires de France à se faire vacciner au sein de l’unité ouverte par le CHRU à la Tour Marcel Brot. Et pour cause : Didier Sartelet est aussi, à 66 ans, médecin généraliste dans sa commune. Et c’est à ce titre qu’il a été contacté lundi. « Je me suis inscrit immédiatement. Me faire vacciner était dans la droite ligne du combat que je mène depuis le début de cette pandémie. Il faut arrêter de se sentir comme dans une ville assiégée par la maladie, sur la défensive. Le vaccin est l’arme qui nous permet de passer à l’offensive ».

« Une question de bon sens »

Alors bien sûr, Didier Sartelet, en première ligne, espère se protéger : « Je suis passé à travers les gouttes. Mais ça pourrait ne pas durer. J’ai des patients qui ont respecté les gestes barrières et qui ont été contaminé on ne sait pas comment ». Mais s’il s’est fait vacciner, c’est aussi pour montrer la voie : « C’est une question de bon sens, c’est ce qui permet d’obtenir une immunité collective. Au lieu de tergiverser sur la part des Français refusant le vaccin, on aurait mieux fait de permettre dès le départ à tous ceux qui le souhaitaient de le recevoir ».

D’ailleurs, Didier Sartelet est prêt, en liaison avec les autorités et si l’approvisionnement le permet, à transformer le centre de test organisé sur sa commune en unité de vaccination. Ce centre, toujours en activité, avait été organisé dès la mi-novembre par le maire-médecin qui avait fédéré autour de lui les professionnels de santé locaux. »