Ancienne élève de Notre Dame-Saint Sigisbert, la députée Carole Grandjean va présenter une proposition de loi pour l’égalité femmes-hommes

Extrait de l’Est Républicain  12 mai 2021.

Carole Grandjean, Ancienne élève de Notre Dame Saint Sigisbert, députée de la 1ère circonscription de Meurthe-et-Moselle, présentera en première lecture à l’assemblée nationale un projet de loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle entre femmes et hommes. Une proposition en sept articles qui vise à lutter contre « les discriminations faites aux femmes, la première forme de discrimination en France ».

Carole Grandjean présentera la proposition de loi à l’assemblée nationale le 10 mai prochain. 

Dans quel cadre s’inscrit la proposition de loi que vous allez présenter aux députés à l’assemblée nationale ?

Nous avons eu le Grenelle sur les violences faites aux femmes avec des mesures qui ont été prises pour lutter contre ces formes de violences sexuelles, le harcèlement etc. Ce qui constituait un premier bloc.

Là, on arrive sur le sujet économique et professionnel. Nous voulons renforcer le ruissellement des différentes mesures. On est sur une démarche globale d’accélération d’égalité économique et professionnelle et évidemment, on vise plutôt les femmes car on constate que 27 % de différence de rémunération concerne les femmes dans le négatif, que 80 % des emplois à temps partiel concernent les femmes.

Un des nœuds c’est l’émancipation économique. Les deux premiers articles réaffirment et rendent obligatoire le fait que le versement des revenus ou des prestations sociales le soit sur le compte personnel ou joint des personnes concernées. Et ce n’est pas toujours le cas. On corrige quelque chose car depuis 1965, la loi autorise les femmes à avoir un compte mais c’est parfois contourné.

Réouverture des terrasses le 19 mai : « Nous sommes prêts ! »

Thierry Vincent, ancien élève de la Malgrange, gérant de la crêperie la Bolée et président de l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie 54 

Thierry Vincent est « prêt » à accueillir à nouveau des clients.

Êtes-vous satisfait du calendrier présenté par Emmanuel Macron dans la presse quotidienne régionale  ?

Dans les annonces on est satisfaits, on a obtenu un calendrier. Nous avons trois semaines pour organiser la réouverture. Maintenant, nous avons un doute au niveau des dates. De plus, on n’a pas de protocole, on attend des perspectives plus complètes. On a notamment des interrogations concernant les jauges et le maintien du soutien économique. Aussi, ce plan de réouverture n’évoque pas les hôtels-restaurants, les bars, les restaurants traiteurs et les organisateurs de réceptions. Depuis le début de la crise sanitaire, on est ensemble !

Si le contexte sanitaire le permet, les terrasses pourraient rouvrir à la mi-mai. Logistiquement, les restaurateurs sont-ils prêts ?

Nous sommes prêts ! Pendant ces sept derniers mois, on s’est améliorés. On a mis en place la vente à emporter. Et ce service va continuer à prendre de l’ampleur. Les personnes en télétravail ont pris l’habitude du click and collect. En juin, le couvre-feu à 23 h va permettre de faire deux services. Le seul bémol, en France, il manque 110. 000 employés de la restauration. Pendant la crise sanitaire, certaines ont retrouvé des métiers moins contraignants.

Ce plan de réouverture permettra-t-il aux restaurateurs de sauver leur année ?

Non, ça ne sauvera pas notre année. Les ventes en terrasses représentent 30 % de notre chiffre d’affaires. Mais ça va permettre de remettre les équipes au travail. Surtout, on va retrouver un contact avec nos clients. Ils en ont besoin. Certains ont déjà téléphoné pour réserver une table le jour de la réouverture. Nous sommes soutenus par notre clientèle.

Avant – Première

En avant-première, la couverture du prochain bulletin  N° 154 de juin 2021 :

Une œuvre de Anne Monti, ancienne professeure de Biologie puis de SVT  à la Malgrange !

Centième Anniversaire du décès de l’Abbé Eugène MARIN

 » Bonjour à tous, je suis Patrick Barbier, un amateur d’histoire locale, j’habite un petit village dans le lunévillois, BONVILLER d’où je suis natif.

A l’âge de 10 ans, lors d’une discussion avec un ancien du village, ce monsieur me parla d’un évêque qui était né au village, et parti comme missionnaire à l’étranger sans préciser le lieu. Cette histoire m’a marquée jusqu’au jour où le Pape Jean Paul 2 quitta Rome pour un voyage en Asie, en passant par le Japon. Le journal L’Est Républicain relata la vie de cet Evêque, un Lorrain du nom de Félix Midon en expliquant son histoire. Dans cet article le journaliste (Jean Claude Midon peut-être un proche de cette famille ! ) expliquait qu’un certain Eugène Marin docteur es lettres, professeur à La Malgrange, avait écrit la biographie en 1901, de Monseigneur Félix Midon premier évêque d’Osaka au Japon.

La commune de Bonviller fît poser une plaque commémorative sur le mur de l’église en l’honneur de Mgr Félix Midon vers 1990, né à Bonviller en 1840, décédé à Marseille en 1893.

Je me suis mis à la recherche de ce livre, qui restera introuvable durant de nombreuses années. L’arrivée d’internet a débloqué cette situation. Aux enchères, le précieux livre de l’Abbé Eugène Marin rentre dans ma bibliothèque, qui est pour moi l’auteur méconnu. La lecture de ce livre me fait alors, découvrir la vie de Félix Midon de sa naissance 1840 à la fin de sa vie en 1893.

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