Clémence Tissoux l’immobilier pour passion

Clémence Tissoux, promo Malgrange 2005 déborde d’énergie. Cette jeune femme dynamique est l’heureuse maman d’une petite Jeanne, 7 ans et demi. Clémence est issue d’une famille originaire d’Heillecourt depuis plusieurs générations. Son grand-père André Tissoux était agriculteur sur la commune, au temps où ce n’était encore qu’un village où les espaces verts recouvraient la majorité de son territoire.

Clémence obtient un Master 2 en commerce en 2010 et acquiert rapidement une bonne expérience en conseil et en communication, un travail où elle excelle mais qui cependant ne la satisfait pas complètement.

Le contact avec les gens, l’écoute d’autrui et son désir de développer davantage d’empathie et de bienveillance dans les situations commerciales lui font chercher une autre voie. En 2019, elle la trouve en intégrant le réseau IAD où elle devient agent commercial mandataire en immobilier à son propre compte. Un métier qui rassemble ses deux passions : son sens du commerce et son besoin de contact réel avec le client. « Je ne peux m’empêcher d’accompagner mes clients jusqu’au bout de leur projet immobilier, confie Clémence. J’ai besoin de m’investir à 100 % pour eux, qu’ils soient vendeurs ou acquéreurs. C’est dans ma nature. »

Et cerise sur le gâteau, Clémence travaille principalement sur la commune qui l’a vue naître… Bref, que du bonheur !

Clémence Tissoux a décidé d’exercer son métier dans sa commune d’origine.

 

Un contrat pro à l’ASNL pour un ancien élève de la Malgrange

AS Nancy Lorraine : un contrat pro de trois ans pour Neil El Aynaoui

Licencié à l’ASNL depuis l’âge de 8 ans, le jeune milieu de terrain Neil El Aynaoui,  vient de concrétiser son rêve de gamin en signant son premier contrat professionnel avec son club formateur. Gros plan.

Neil El Aynaoui ancien élève de la Malgrange  : « Je n’ai jamais regardé ce qu’on aurait pu me proposer ailleurs. Je serais seulement parti de l’ASNL si le club avait voulu se débarrasser de moi. Je me sens redevable après tout ce que j’ai appris ici » 

C’est un joli contre-pied, à l’heure où de nombreux jeunes du centre de formation de l’ASNL préfèrent partir à l’étranger. Neil El Aynaoui, licencié à l’ASNL depuis la catégorie U9, vient de signer son premier contrat pro de trois saisons avec son club formateur.

La concrétisation d’un rêve de gamin pour le milieu de terrain, qui soufflera ses 20 bougies en juillet. Le fiston de l’ex-champion de tennis Younès El Aynaoui confirme : « J’ai commencé le foot en Espagne, dans le petit club de Gava, près de Barcelone. On habitait là-bas, à l’époque, parce que c’était plus facile pour mon papa dans sa carrière de tennisman, avec un grand aéroport à proximité. Mes parents sont revenus vivre à Nancy quand j’avais 8 ans. J’ai tout de suite signé à l’ASNL. C’est mon club. Depuis tout petit, j’ai cet objectif de devenir footballeur professionnel à Nancy. Je n’ai jamais regardé ce qu’on aurait pu me proposer ailleurs. Je serais seulement parti de l’ASNL si le club avait voulu se débarrasser de moi. Je me sens redevable après tout ce que j’ai appris ici »

Une famille ultra-sportive

Comme beaucoup d’autres pros avant lui, Neil El Aynaoui est aussi passé par le Pôle Espoirs au CREPS d’Essey-lès-Nancy , avec les équipes de Jean-Robert Faucher. Il a franchi les étapes avec beaucoup d’aisance balle au pied, avec également de grandes qualités physiques lui permettant de répéter les efforts à haute intensité. C’est dans les gènes tout ça, avec son père qui a brillé en Grand Chelem, avec également sa maman qui a connu le top niveau en tennis et en patinage artistique. Le grand frère de Neil a aussi brillé au basket dans les catégories jeunes, alors que le plus petit de la fratrie, Noam (17 ans), actuellement au Pôle France Aviron de Nancy, est promis à un très bel avenir dans sa discipline.

Le néo-pro de l’ASNL, lui, est un footballeur tellement complet que Patrick Gabriel , pendant sa formation, a décelé en lui les qualités pour jouer attaquant de pointe. Mais c’est bien dans l’entre-jeu, « en position de relayeur », qu’il se sent le mieux. Son profil sera certainement intéressant, en tout cas, pour le nouveau coach de l’ASNL, l’Allemand Daniel Stendel.


En attendant la reprise de l’entraînement d’ici deux semaines, Neil El Aynaoui a fait une demande pour son numéro en L2 : « J’aimerais bien porter le 12, c’est le jour de naissance de mon père et de ma mère » Voilà un jeune qui, décidément, n’oublie jamais d’où il vient.

« A tes côtés », un album original interprété par la pianiste Ségolène BONNAVENTURE.

Cet album qui mêle différents univers musicaux, musique actuelle et classique, est le résultat d’une belle collaboration musicale qui a vu le jour en octobre 2020 entre la pianiste Ségolènne Bonnaventure, ancienne élèves de Saint Sigisbert et le compositeur Nicolas VICAIRE, tous deux originaires de Nancy.

La pianiste Ségolène est une ancienne élève de Saint Sigisbert, qu’elle a fréquenté entre 1990 et 1997, alors qu’elle étudiait en parallèle le piano au conservatoire de Nancy depuis l’âge de 7ans. Suite à son Baccalauréat scientifique, Ségolène va jusqu’à obtenir une maîtrise de Musicologie à la faculté de Nancy et intègre le conservatoire comme pianiste-accompagnatrice.

Ce projet musical trouve ses origines dans des morceaux composés par Nicolas depuis une quinzaine d’année pour son groupe de musique (le groupe Lorrain Aïeur). Désireux de décloisonner les genres, le compositeur a, depuis plusieurs années, commencé un travail d’adaptation de ses œuvres, notamment pour musique de chambre (quintette à cordes) et orchestre. C’est tout naturellement qu’il a poursuivi, dans cette logique, un projet d’adaptation pour piano.

Suite à la rencontre de Ségolène lors d’un concert au conservatoire de Nancy, la collaboration se met en place et se concrétise par la réalisation d’un album, intitulé « A tes côtés », en référence au premier titre de l’album et à une chanson du même nom. Cet album composé de onze titres a été enregistré au studio Baal productions à Metz.

Ces compositions ont maintenant besoin de trouver leur public et de relais (articles, radio, programmation de concert…) pour se faire connaitre plus amplement. Nous avons hâte que les activités culturelles redémarrent et puissent s’épanouir à nouveau.


Pour soutenir le projet « A tes côtés » et découvrir les clips vidéo rendez-vous sur la page Youtube et le site du compositeur.

www.nicolasvicaire.ovh

Pour obtenir l’album ou les partitions, organiser un concert avec Ségolène,  contactez directement le compositeur: nicolas.vicaire@gmail.com

Ancienne élève de Notre Dame-Saint Sigisbert, la députée Carole Grandjean va présenter une proposition de loi pour l’égalité femmes-hommes

Extrait de l’Est Républicain  12 mai 2021.

Carole Grandjean, Ancienne élève de Notre Dame Saint Sigisbert, députée de la 1ère circonscription de Meurthe-et-Moselle, présentera en première lecture à l’assemblée nationale un projet de loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle entre femmes et hommes. Une proposition en sept articles qui vise à lutter contre « les discriminations faites aux femmes, la première forme de discrimination en France ».

Carole Grandjean présentera la proposition de loi à l’assemblée nationale le 10 mai prochain. 

Dans quel cadre s’inscrit la proposition de loi que vous allez présenter aux députés à l’assemblée nationale ?

Nous avons eu le Grenelle sur les violences faites aux femmes avec des mesures qui ont été prises pour lutter contre ces formes de violences sexuelles, le harcèlement etc. Ce qui constituait un premier bloc.

Là, on arrive sur le sujet économique et professionnel. Nous voulons renforcer le ruissellement des différentes mesures. On est sur une démarche globale d’accélération d’égalité économique et professionnelle et évidemment, on vise plutôt les femmes car on constate que 27 % de différence de rémunération concerne les femmes dans le négatif, que 80 % des emplois à temps partiel concernent les femmes.

Un des nœuds c’est l’émancipation économique. Les deux premiers articles réaffirment et rendent obligatoire le fait que le versement des revenus ou des prestations sociales le soit sur le compte personnel ou joint des personnes concernées. Et ce n’est pas toujours le cas. On corrige quelque chose car depuis 1965, la loi autorise les femmes à avoir un compte mais c’est parfois contourné.