Emmanuel Haeussler, le nouveau capitaine du port Nancy Saint Georges.

Une étude de 6 mois vient d’être lancée par la mairie de Nancy pour pouvoir aménager le port de plaisance de Saint George et les ports voisins, avec l’objectif d’en faire un point de passage pour Nancéiens et touristes.

Véronique Ernest, adjointe au maire, et Emmanuel Haeussler, ancien élève de La Malgranege  le nouveau capitaine du port Nancy Saint Georges.

Véronique Ernest, Adjointe déléguée au territoire Est et conseillère déléguée aux écoles, a annoncé avoir « engagé une étude » d‘une durée de 6 mois avec Voies navigables de France (VNF) « qui permettra de savoir si on peut aménager Saint Georges et les ports voisins, dynamiser l’accueil, proposer des locations de bateau, et peut être du transport fluvial ».

« On doit souvent refuser des demandes » explique-t-elle, comme des « demandes de création de logements insolites au port, ou des projets de bateaux électriques pour visites touristiques ». C’est surtout un problème de gouvernance : « la mairie ne gère que ce petit segment du port » explique l’adjointe au maire devant le port Saint Georges et ses 200 mètres de longueur. La ville ne peut donc pas, pour² l’instant, aménager la voie fluviale dans son ensemble. Pourtant, c’est bien vers un projet qui englobe tout le quartier du port que la mairie se dirige.

Aménager l’accueil

Autre objectif phare : la mairie souhaite « redynamiser le port », selon les termes de Véronique Ernest. Agrandissement du ponton et nouvel espace d’accueil sont déjà mentionnés alors que l’étude doit se poursuivre pour 6 mois. Pour l’instant, le port propose une quarantaine d’emplacements bateau équipés en eau et électricité et 15 emplacements pour camping-cars. Avec le feu vert de Voies navigables de France (VNF), ces capacités d’accueil pourraient fortement augmenter. C’est le problème du mandat actuel de la mairie sur le port, qui est limitée chaque année, à des travaux de surface « comme le renouvellement des bornes pour bateaux ou de l’éclairage LED, réalisés en 2 021 ».

“Peut-être du transport fluvial pour les Nancéiens”

Voyager du nord au sud de Nancy dans des bateaux navettes, en validant un titre de transport Stan, serait peut-être possible selon l’adjointe au maire de Nancy, « mais pour ça il faut attendre les résultats de l’étude » rappelle-t-elle. La création de nouveaux pôles d’activité proches des rives, comme le quartier écologique Alstom qui accueillera la Cité Judiciaire en 2026, concorde avec le projet d’aménagement. Le potentiel de ce port est tel que la ville serait aussi en réflexion pour créer des navettes intervilles, avec Metz par exemple.

Une porte d’entrée pour le tourisme

Les touristes, « on pourrait en accueillir plus » insiste Véronique Ernest. Alors que la pandémie a pesé sur les résultats de l’année dernière, le tourisme à Nancy a de nouveau le vent en poupe. « L’aire de camping-car est pleine en ce moment, cela faisait longtemps » se réjouit la responsable du port.

Un Champigneullais ordonné prêtre

 
Yann ORSINI, Champigneullais et ancien élève de Saint Sigisbert  sera prêtre au service de l’évêque de Blois.

Yann ORSINI, 29 ans, a passé toute son enfance à Champigneulles rue Poirier de la Mariée. Après une école primaire à Buffon, puis le secondaire à Saint Sigisbert à Nancy, il est parti à Lyon pour faire des études de lettres. A 21 ans, il est entré au séminaire à la Communauté St Martin à Evron dans la Mayenne. Cette communauté forme des prêtres qui seront au service des évêques. Aujourd’hui, alors qu’il célèbre ses toutes premières messes, Yann a tenu à venir St Epvre qui est rattachée à la paroisse Saints Pierre et Paul. « Il m’a semblé important de rendre grâce à ses paroissiens qui m’ont aidé dans leur prière, mais aussi à tous mes proches et amis. Rendre grâce dans l’Eglise Catholique c’est remercier. » Ce jeune prêtre va ensuite partir pour une mission à Sellettes près de Blois où il y servira l’évêque. Mais au fond de son cœur, il restera toujours un temps de prière envers les Champigneullais.

Nancy : une lycéenne remporte le prix départemental Plaisir d’écrire pour sa nouvelle et vise le titre national

Pauline Vargenau, en classe de terminale au Lycée La Malgrange à Jarville, a décroché avec sa nouvelle « Les yeux dans les yeux » le premier prix départemental du concours « Plaisir d’écrire » de l’AMOPA. Elle est désormais en compétition pour remporter le prix national.

Pauline Vargenau lit sa nouvelle "Les yeux dans les yeux".
Pauline Vargenau lit sa nouvelle « Les yeux dans les yeux ».© Sandrine Vargeneau

Elève au lycée La Malgrange de Jarville près de Nancy, Pauline Vargenau, âgée de 17 ans, va tenter de remporter un prix national d’écriture.
En février 2021, sa nouvelle « Les yeux dans les yeux », lui a permis de décrocher le premier prix départemental du concours « Plaisir d’écrire » proposé par l’association des membres de l’ordre des Palmes Académiques (AMOPA). C’est cette distinction qui lui permet de concourir à l’échelon national.

Léa, 2e dauphine à l’élection nationale des Miss 15/17 ans

Représentant la Lorraine,  Léa Marchal, actuellement en Terminale S à La Malgrange, a fait honneur à la région en devenant 2e dauphine de Miss 15-17 ans National lors de l’élection qui s’est déroulée à Beauvoir en Vendée.

Après avoir eu l’immense satisfaction d’endosser l’écharpe de Miss 15/17 Meurthe-et-Moselle 2019 et Miss 15/17 Lorraine 2020 , Léa ne manquait pas d’ambition avant de participer à l’édition nationale.

17 au test de culture générale

« Pendant cette période de quatre mois, j’ai dû slalomer entre les cours – je suis en terminale générale scientifique à La Malgrange – et les différents shootings pour l’élection nationale. J’ai réalisé ma vidéo officielle de 3 minutes pour représenter ma région et j’ai eu la chance d’être reçue par de nombreux partenaires que je remercie chaleureusement pour leur accueil et leurs nombreux cadeaux », affirme Léa, très impatiente de partir rejoindre les autres Miss.

Le jour de l’élection, les candidates sont jugées tout d’abord sur leur beauté, leur présentation, mais aussi sur les notes du test de culture générale (17/20 pour Léa) ainsi que sur leur aisance à l’oral, motivation, élégance et le nombre de votes obtenus par SMS.

Vingt-quatre jeunes filles sélectionnées

Tout au long de la semaine de préparation, le comportement des Miss est jugé et analysé avant l’entretien de présélection permettant de dégager douze jeunes filles sur vingt-quatre pour continuer l’aventure, avant de sélectionner un top 6 le jour de l’élection.

Tout en restant la plus naturelle possible, Léa a su faire valoir son humour, sa sociabilité, son savoir-vivre, son optimisme et sa joie de vivre, autant d’atouts qui n’ont pas manqué de séduire le jury et qui ont débouché sur le titre de 2e dauphine.

En raison des conditions sanitaires, l’élection s’est déroulée à huis clos. Et Léa n’a pu bénéficier du soutien de ses proches et de ses amis.

Et maintenant ?

« Mon objectif est, bien évidemment, le Bac, mais le prochain arrivera très vite avec l’entrée en fac de médecine en septembre. Si j’ai la chance de réussir ma première année, j’aimerais peut-être, à l’avenir, tenter une nouvelle aventure dans le milieu des miss. Il ne faut jamais dire jamais, alors j’espère donner rendez-vous, dans quelques années, avec une nouvelle couronne », conclut Léa qui gardera un souvenir inoubliable de cette expérience et de cette folle aventure partagées avec 23 autres filles.