Le lycée Saint-Sigisbert fait don d’habits aux plus démunis

  Est Républicain  3 février 2021
Une belle collecte qui apportera confort et chaleur aux personnes dans la rue.

Des lycéens de l’ensemble scolaire Notre-Dame Saint-Sigisbert ont organisé une collecte de vêtements chauds pour les personnes de la rue durant deux jours dans l’établissement en partenariat avec la Société Saint-Vincent de Paul qui organise régulièrement des maraudes pour aider les plus démunis qui vivent dans la rue. Ces vêtements leur seront remis lors de ces visites.

Pour réaliser cette collecte, qui fait suite à une collecte de produits d’hygiène qui a eu lieu en décembre, deux élèves de terminale Margaux Charon et Gautier Venard sont allés à la rencontre des personnes vivant dans la rue afin de leur demander ce dont ils ont le plus besoin pour combattre le froid et les intempéries en hiver. C’est ainsi qu’en accord avec Sabine Tennerath, responsable de la pastorale de l’établissement après avoir composé des affiches réparties dans les différents bâtiments, ils ont durant deux jours fait appel aux élèves de l’établissement pour rassembler gants, écharpes, bonnets, chaussettes, sous-vêtements mais aussi pulls et cabas ou parkas bien chauds qu’ils ont ensuite triés et remis à la Société Saint-Vincent de Paul, dont Hubert Jacques est le porte-parole à Notre-Dame Saint-Sigisbert.

Les vêtements collectés seront remis dans les prochains jours à leurs destinataires.

Léa Marchal, Miss Lorraine 15-17 ans

Léa Marchal, actuellement en terminale S à la Malgrange est désormais en route pour la finale nationale.

Conduit par Caroline Trizon, déléguée régionale, le comité de Lorraine des miss 15/17 était bien représenté ce samedi, à l’occasion de la remise de l’écharpe de Miss Lorraine 2020 à Léa Marchal.

En raison de la crise sanitaire, il n’y a pas eu d’élection l’année passée et, par conséquent, les instances compétentes ont décidé d’attribuer le titre à la 1ère  dauphine de Manuella Coutret, élue en 2019.

« Léa Marchal étant favorable à notre proposition, c’est elle qui ira représenter la Lorraine à l’échelon national en mai », a déclaré Caroline Trizon.

Avant de lui céder écharpe et diadème, Manuella Coutret, qui entretient une solide amitié avec Léa, a souhaité faire part à l’assemblée des fabuleux moments passés durant son année de règne : « Grâce au comité des miss et à tous ceux qui m’entourent, j’ai vécu une aventure magique que je ne suis pas près d’oublier, je suis désormais de tout cœur avec Léa. L’écharpe nationale c’est pour elle ! » Des encouragements qui sont allés droit au cœur de la Laneuvevilloise, lycéenne en terminale S à La Malgrange à Jarville et qui aimerait intégrer la faculté de médecine en septembre prochain.

« J’ai hâte de remonter sur scène »

« Je me suis présentée à ce concours afin de connaître une nouvelle expérience et prendre confiance en moi. Je souhaite vivre cette aventure à fond. J’ai vraiment hâte de remonter sur scène et de représenter la Lorraine lors de cette élection » déclare Léa Marchal, pom-pom girls sur les parquets de Gentilly lors des rencontres du SLUC Nancy depuis trois ans.

Toutes nos félicitations et nos encouragements !

 

Premier CD de Thomas PETITPOISSON

Thomas PETITPOISSON, ancien élève de La Malgrange, 2012 et 2013

« Bonjour à tous,

Je suis Thomas Petitpoisson alias Tom’s World, auteur compositeur interprète et parolier, et j’écris ce mail dans le but de présenter mon travail musical.

La musique est apparue dans ma vie à 14 ans, dans un camp de vacances pour adolescent, le camp du Tom. Parmi les nombreuses activités proposées, la guitare avait retenue mon attention, n’était pas du tout pratiquant à cette époque. L’ambiance de ce camp était phénoménalement musicale, chant après les repas, veillées, chant de marches en randonnées. Ce vivier riche a développé en moi l’envie d’apprendre la musique, l’envie de chanter, et l’envie d’écrire.

C’est ainsi que débuta mon périple dans la musique, et je tiens à remercier tout particulièrement Jean, Frank et Milou, qui m’ont mis le pied à l’étrier de façon pédagogique et bienveillante.

J’ai entretemps intégré le CRD (Conservatoire) Gautier d’Epinal en septembre 2019, en classe de chant. Je passerai mon diplôme de sortie à la fin de cette année 2021.

Je pratique également le violoncelle, la guitare jazz, et la formation musicale (qui est à la traîne par rapport au reste, étant un musicien instinctif)

Durant le premier confinement de mars 2020, j’ai composé, enregistré et publié mon premier album, Distance infernale, un EP de 8 morceaux.

L’écriture du deuxième est finalisée, celui-ci est donc en cours d’enregistrement.

Quant au chant lyrique, je suis un ténor lyrique, ayant une prédilection pour la puissance, aimant beaucoup l’œuvre de Giacomo Puccini. Je chante également du baroque, notamment le Messiah de Haendel.

La musique étant arrivée tardivement dans ma vie, je m’y investis désormais pleinement et vise l’autonomie financière grâce à celle-ci.

A la sortie du CRD, j’envisage de partir à Paris ou Lyon, continuer ma formation classique dans un conservatoire national supérieur.

Voici donc la fin de cette présentation de mon activité musicale, en espérant que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter que j’en ai à l’interpréter.

Mes amitiés musicales les plus sincères, Thomas. »

L’Atelier de broderie Vuillaume travaille pour la Fashion Week

Depuis 1850, l’Atelier de broderies Vuillaume met son savoir-faire au service des grandes maisons de haute couture parisiennes. Hubert Vuillaume, ancien élève de La Malgrange Promo 2005, qui a repris en 2016 les rênes de l’entreprise familiale, emploie aujourd’hui six lunévilleuses, dernières spécialistes de la broderie perlée au crochet.

La semaine a été dense pour les employées de l’Atelier de broderies Vuillaume, à Diarville. Les six lunévilleuses, de l’entreprise familiale, dernières spécialistes de la broderie perlée pailletée au crochet, ont été, comme chaque année, très sollicitées pour satisfaire les commandes des sous-traitants des grandes maisons de haute couture parisiennes. «La semaine qui précède la Fashion Week est toujours très dense pour notre activité», souligne Hubert Vuillaume, qui a succédé en 2016 à son père, Xavier Vuillaume, à la tête de l’entreprise familiale.

Installé à proximité de la maison de famille, au cœur du village, l’atelier a été créé en 1850 par Constant Vuillaume arrière-arrière-grand-père d’Hubert Vuillaume, qui était marchand de vin, fabricant de dentelles et de broderies blanches. « Je suis très fier de représenter la 5e génération », confie le jeune patron âgé de 33 ans, qui a toujours eu le souhait de reprendre l’entreprise familiale. « Quand j’étais enfant, je traînais toujours ici, avec mon père. J’ai pris sa succession quand il est décédé, avec le désir de préserver ce patrimoine familial ». Pendant les grandes heures de l’entreprise, l’Atelier a employé jusqu’à 1 000 brodeuses qui travaillaient à domicile, dans tout le Saintois, à l’époque où le grand-père d’Hubert avait développé les sacs brodés qui se vendaient jusqu’à New-York.

Un savoir-faire qui ne tient qu’à un fil

Aujourd’hui, Hubert Vuillaume est le gardien d’un savoir-faire qui ne tient qu’à un fil, devant faire face à une concurrence étrangère  bas coût comme les ateliers indiens.

« Heureusement, les grandes maisons de couture ont toujours besoin d’une main-d’œuvre française au savoir-faire unique comme la broderie au crochet de Lunéville. Nous sommes la dernière maison dans la région à perpétuer ce métier d’art. La méthode utilisée n’a pas changé depuis 1850. Le motif de la broderie perlée ou pailletée est retranscrit sur le tissu par le biais d’une feuille de calque, avec de la poudre. Ensuite il y a l’étape du piquage, puis, celle de la broderie à la main, au crochet de Lunéville ou à l’aiguille classique. Nos lunévilleuses sont amenées à travailler sur toutes sortes de vêtements, jupes, pulls… ».

« Aussi beau à l’endroit qu’à l’envers »

Le jeune patron a fait de la phrase de son père sa devise : « Une broderie, ça doit toujours être aussi beau à l’envers qu’à l’endroit ». Dans l’atelier, il peut s’appuyer sur deux brodeuses comptant près de 40 ans d’expérience, afin de former les plus jeunes passées par le lycée Paul-Lapie, à Lunéville. « Nous avons la chance de pouvoir accueillir des stagiaires de ce lycée qui a une école de broderie d’art ».

Pour répondre aux exigences de la haute couture, les ouvrières travaillent 39 heures par semaine, du lundi au vendredi. « Pour les nouvelles collections, il faut faire des sacrifices et ne pas avoir peur de faire des heures supplémentaires », souligne Hubert Vuillaume.

Anne Joly aux 12 coups de midi sur TF1

Hier sur TF1 une magnifique leçon de vie, de Anne Joly ancienne élève de La Malgrange de 2007 à 2014.

Un grand bravo à elle et sa maman. Nous avons l’habitude de regarder en famille chaque midi, et heureux ce jour là de découvrir une candidate de NANCY, sans jamais se douter , qu’il s’agissait d’une ancienne élève de La Malgrange. Contact pris ce matin même avec Anne pour la féliciter. Sa réponse :

« Oh super, je suis ravie de savoir que vous avez regardé l’émission d’hier. Merci pour vos gentils mots concernant ma prestation ! Je serai ravie d’apparaître sur la page des anciens élèves de la Malgrange et reprendre des nouvelles de mes anciens professeurs qui font également partie de la page.

Merci à vous tous ! J’en suis touchée »

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