« Nous sommes sur terre pour faire du bien », renchérit l’intéressée. C’est donc tout naturellement qu’à l’heure de la retraite, cette ancienne salariée de la coopération pharmaceutique française puis du collège de la Malgrange, s’est lancée dans le bénévolat.
Après son service militaire volontaire à Dakar, Claude Werlé a lui fait son entrée chez Kuhn et Fleichel. À la fermeture de l’établissement, il a rejoint les Métalliers Lorrains. « J’ai travaillé là avec le meilleur Ouvrier de France », indique-t-il. Il a terminé sa carrière chez Brayer, à Heillecourt, en 2008.
Bon bricoleur, Claude profite de la retraite pour faire des travaux dans la maison héritée de ses parents. Quand on lui demande la recette pour faire durer son mariage, célébré le 6 mars 1971, le couple sans enfant répond sans hésiter : « Nous sommes complé-mentaires ».