CEREMONIE DE DÉVOLUTION A UN DRAPEAU A LA MALGRANGE

Préfecture de Meurthe et Moselle
Cérémonie de dévolution de drapeau au sein du Collège-Lycée de La Malgrange à Jarville, présidée par Frédéric CLOWEZ, secrétaire général de la préfecture, en présence deRT, directeur de l’établissement, de Nathalie NAVILLE, directrice adjointe de l’ONACVG de Meurthe-et-Moselle, de Stéfan LEWANDOWSKI, dernier déporté survivant en Lorraine, et 250 collégiens.
Avant de procéder à un dépôt de gerbe devant la plaque commémorative des élèves morts pour la France, rendant hommage à toutes celles et ceux qui ont fièrement combattu pour la France, M. le secrétaire général a prononcé un discours rappelant l’histoire du drapeau français, son importance et sa valeur fondamentale pour la République, ainsi que la responsabilité qui incombe à chacun d’en être le gardien 🇫🇷
🗣️ « Les anciens combattants ont connu le prix de la liberté. Ils savent que la République n’est jamais acquise, qu’elle se défend chaque jour par l’éducation, par le respect, par la citoyenneté active.
À vous, élèves de La Malgrange, revient désormais la responsabilité de porter cette mémoire vivante.
En accueillant ce drapeau, vous devenez à votre tour les héritiers d’une histoire, mais aussi les acteurs de son avenir.
Que ce drapeau, désormais vôtre, soit le témoin d’une fidélité : fidélité à ceux qui se sont battus pour la liberté, fidélité à l’esprit de la République, fidélité à la paix et à la fraternité. »

DEUX ANCIENS MALGRANGIENS A L’HONNEUR

Thomas SADOUL et Chine WELSCH, deux dirigeants qui accompagnent la communication des agences

Amis depuis le lycée, les deux Nancéiens ont lancé en 2020 Cocoon-Immo, une société qui gère la communication digitale des agences immobilières. Le concept fait mouche.
Après s’être connus sur les bancs du lycée de La Malgrange à Jarville, Chine Welsch et Thomas Sadoul ont décidé de lancer leur boîte en 2020. Cinq ans plus tard, la société connaît une belle croissance.
Après s’être connus sur les bancs du lycée de La Malgrange à Jarville, Chine Welsch et Thomas Sadoul ont décidé de lancer leur boîte en 2020. Cinq ans plus tard, la société connaît une belle croissance.

Ils se sont connus au collège de La Malgrange, à Jarville, et sont devenus amis. À cette époque, Thomas Sadoul et Chine Welsch ne se doutaient pas que quelques années plus tard, ils lanceraient leur propre société.

Après avoir suivi des chemins différents post-bac, les deux amis ont repris contact dans la deuxième moitié des années 2010 avec une envie commune : monter leur propre boîte. Cocoon Immo a ainsi vu le jour début 2020. « En plein Covid », s’amuse Thomas Sadoul.

Cocoon-Immo propose aux agences immobilières une gestion clé en mains de leur communication digitale. « Souvent, les agences n’ont pas le temps et l’expertise pour le faire correctement, poursuit-il. C’est là qu’on va intervenir. »

Déjà plus de 1 200 agences accompagnées

Cocoon-Immo met à la disposition des agences un logiciel interne. Elles peuvent gérer leur communication elles-mêmes ou être accompagnées avec des chefs de projets qui géreront leur vitrine digitale.

Le concept fait mouche. Cinq ans après sa création, Cocoon-Immo a déjà accompagné plus de 1 200 agences, indépendantes ou en réseau, en France, mais aussi en Belgique, au Luxembourg et au Canada, où Chine Welsh a travaillé.

La société, installée aujourd’hui à Paris mais qui garde son siège social à Nancy, emploie dix-huit collaborateurs et vise un chiffre d’affaires de 1,5 million d’euros pour cette année. « On a une croissance régulière alors que le marché immobilier n’est pas facile », reprend Thomas Sadoul.

Des défis à relever

Alors que le marché de l’immobilier reprend petit à petit des couleurs, Cocoon-Immo entend bien surfer sur la vague avec le soutien de la BPI (Banque publique d’investissement). « Le gros défi pour les mois et les années à venir, c’est prendre des parts de marché, reprend Thomas Sadoul. Il y a environ 35 000 agences immobilières en France, on n’en accompagne que 3 %. Il y a encore de la place pour se développer. Et puis, on souhaite intégrer les grands challenges du moment dans notre développement, comme l’intelligence artificielle. On travaille pour l’intégrer dans nos solutions afin d’avoir quelque chose de plus efficace encore. » Et continuer à faire grandir le projet des deux amis…

Notre-Dame Saint-Sigisbert : un tarif en fonction des revenus

L’ensemble Notre-Dame Saint-Sigisbert a fait sa rentrée sous le signe de la nouveauté. « C’est une première à Nancy. Nous avons fait le choix de proposer aux familles un tarif différencié en fonction de leurs revenus », explique Nicolas Meyer, directeur de l’établissement depuis cinq ans.

Ce changement est le fruit d’une réflexion mûrie en interne, portée aussi par les tutelles diocésaines et congréganistes, souhaitée par les pouvoirs publics. « Au printemps dernier, nous avons adressé un questionnaire aux familles pour les sonder. Les retours se sont révélés globalement positifs, malgré quelques inquiétudes initiales. Dans un deuxième temps, nous avons défini une tarification différenciée pour tout l’établissement, de la maternelle au lycée, tout en maintenant une réduction pour les fratries. »

Concrètement, cinq tranches sont proposées en fonction de l’avis d’imposition. Pour Nicolas Meyer, la démarche conforte une réelle volonté d’ouverture sans renoncer à la qualité de l’enseignement en innovation constante. « Cette évolution tarifaire s’inscrit dans une logique d’une plus grande équité, qui d’ailleurs rappelle notre signature : Notre-Dame Saint-Sigisbert, grandir ensemble. »

Nicolas Meyer, directeur d’établissement.